- VALENTINE PORQUET a sauvé la promotion du naufrage micro-économique.
Compétence, charme, intelligence. Beaucoup lui doivent leur UV. - EMMANUEL
WEYD (pas parce qu’il est à la JE…) est le seul véritable
interlocuteur face à l’administration. Ses interventions comblent
lors des réunions le vide laissé par l’absence de toute structure
représentative des étudiants. Son aide d’ancien est particulièrement
appréciée. - JEAN-CLAUDE DE SCHIETERE a fait preuve d’une
efficacité surprenante lors du dernier comité d’enseignement.
Face aux revendications des élèves, il a obtenu immédiatement
des professeurs des engagements concrets. Les professeurs de statistiques ont
été les plus rapides à alléger le travail demandé. -
OLIVIER DE TISSOT, comme le montre le sondage, est l’un des professeurs les
plus appréciés de l’ESSEC (du moins des élèves…).
Par sa décontraction et sa sympathie, il a su intéresser les élèves
à son cours. Son livre en a étonné plus d’un !
En
Baisse :
- ISABELLE WATTIAU accumule les erreurs pédagogiques,
refuse de remettre son enseignement en cause. Pour elle, les absents ont toujours
tort. Elle a déjà prévenu qu’elle ne les aidera pas
pour le projet. Belle mentalité pour un professeur d’une école
prétendant responsabiliser les élèves. - NICOLAS PRAT
s’est distingué lors des quiz d’informatique par son zèle
et ses méthodes de petit chef. Tous ceux qui ont eu la chance de ne pas
le subir en remercie encore le hasard bienveillant. Les autres le maudissent déjà. -
LA BIBLIOTHEQUE a un sens aigu de l’accueil et des horaires. Censées
servir les élèves, des petites sous-chefs prennent un malin plaisir
à appliquer un règlement pointilleux et ridicule. Les contrevenants
sont impitoyablement châtiés et leur cartes marquées d’un
signe accusateur. L’ordre règne au Pays du Livre : pour ceux qui en
ignoraient le règlement, des journaux « bien pensants » (Action
Française et autres réjouissances) sont à leur disposition… -
LES COMMERES DE LA CAFET’ nous infligent des attentes insupportables pendant
que ces dames se racontent leurs vies à grand renfort de gloussements.
Enfin arrivés devant cette maudite caisse, les élèves doivent
subir les mines renfrognées et les jacasseries de ces mégères.
